Musique Musique
LO'JO

310 Lunes

07 Nov. ► 08 Nov. 2014

Durée 1H30

Soirée Enfants le 8 nov. | 5€ - Réservation 02 41 22 20 20

Nouveau | Payez avec votre compte CO2

Accueil spécifique et programme disponible en braille et gros caractères le 7 nov.

Bogdan Konopka

À l’occasion de la sortie de leur coffret collector et nouvel album instrumental, 310 Lunes, retrouvons les Lo’Jo pour deux concerts exceptionnels avec un ensemble d’instruments à vent et un invité prestigieux, Erik Truffaz. C’est une chance unique, ne ratez pas la fête !

« Clarinettes, saxophones, tuba, trompette, flûte, basson, trombone... une formation savante et audacieuse pour jouer les réminiscences des musiques historiques de Lo’Jo. Le Groupe se mêle aux envolées de cuivres et de bois avec les épices de son “Cinéma du monde”. Il fusionne ses tambours battants et ses chœurs fougueux, ses dubs féériques, pour devenir le 7ème d’un sextet de vent. 

Lo’Jo profite de la ferveur des cuivres pour slamer des cohues, déambuler ce soir-là dans ses vêtements d’escale, confiant les paroles de l’aventure. C’est toute la culture d’un siècle qu’on goûte dans ces évocations atypiques : le jazz, la musique des répétitifs américains, des souvenirs d’Inde, les parfums harmoniques de vieille Europe, un soupçon des Balkans… »  

310 Lunes - Photographies d’un Objet Sonore est un coffret collector, à paraître le 7 octobre 2014 (Lo’Jo / Harmonia Mundi) composé d’un livre rassemblant 70 clichés de Lo’Jo par le photographe Bogdan Konopka, d’un album instrumental inédit, et d’une réédition du premier album de Lo’Jo The International Courabou.

Ce spectacle est présenté avec le soutien de SERAL.

PROGRAMME DE SALLE

310 Lunes
Après dix jours de recherche scénique, sonore et visuelle passés en résidence au Quai, Les Lo’jo présentent le spectacle inédit créé pour marquer la sortie du coffret 310 Lunes, reflet vivant de 30 ans d’un parcours artistique atypique, chargé de mille histoires sensibles. Au côté d’un sextet d’instruments à vent, Lo’Jo exhume ainsi de son répertoire une dizaine de chansons, et les mêlent aux musiques de l’album coffret 310 Lunes. Les titres des anciens disques côtoient des musiques récentes, le spectacle est une alternance de chansons et titres instrumentaux. La section d’instruments à vent (clarinettes, saxophones, tuba, trombone, basson…) joue les pièces instrumentales du disque 310 Lunes. Lo’Jo se mêle à l’aventure et ponctue ces envolées de bois et de cuivres, avec les chansons de son cinéma du monde, aux replis du voyage timbrés par cet inédit orchestre, savant et audacieux.
Les six musiciens de Lo’Jo partagent exceptionnellement la scène avec ce sextet d’instruments à vent, pour peindre cet objet sonore aux multiples visages. Les musiques instrumentales interprétées par la section à vent sont habitées par Lo’Jo, alors que d’autres chansons prennent des allures inattendues lorsque le sextet y insuffle un vent nouveau. Comme sur le disque, un soliste prestigieux, Erik Truffaz, rejoint la formation pour un instant musical solaire. La musique de Lo’Jo s’élance vers de nouvelles contrées artistiques : aux confins du jazz et de la chanson du monde.

La presse en parle
« En 2012, le groupe angevin Lo’Jo fêtait ses 30 ans avec un album mémorable, Cinéma el Mundo. Ce groupe rajeunit. La preuve : il fête maintenant ses 25 ans d’existence discographique. 310 lunes est le gâteau-cadeau : un livre-objet comme un voyage temporel, qui regroupe la réédition du rare premier album The International Courabou, ainsi qu’un nouvel album instrumental, où les musiciens de Lo’Jo ont l’audace de s’absenter, confiant la reprise de neuf de leurs anciennes chansons à un petit orchestre à vent. (...) Vivement les 20 ans. »
Les Inrocks, octobre 2014

« Un livre de photos agrémenté de deux CD : c’est ainsi que Lo’Jo, le collectif angevin à la carrière internationale, dresse le bilan de son dernier quart de siècle. Soit 310 lunes, selon le calendrier agricole, écoulées depuis son premier disque autoproduit.(...) Ce coffret est la bande-son idéale pour se plonger dans les images de Bogdan Konopka, photographe que le groupe rencontre à Cracovie en 1988 et qui, depuis, suis ses pérégrinations. Le noir et blanc raconte à merveille la chaleur des concerts, la vie nomade des musiciens en tournée et la découverte du pays touareg, au Mali. »
Libération, octobre 2014