La chanteuse afro-américaine à la voix renversante mêle la douceur du folk à la fièvre blues. Envoûtement garanti.

Chaque artiste joue de ses parentés, tout en soignant sa distinction. Ilene Barnes partage avec Tracy Chapman l'art de la pop-folk au pouvoir de séduction immédiat. Comme elle, Ilene Barnes vous emmène en balade, guitare sèche à la main et charme serpentin. Mais Ilene Barnes a un grain inimitable et bien à elle. Le secret ? De son aveu même, " de multiples métissages ", en lointaine provenance d'ancêtres irlandais, indien d'Amérique, africain et hindou.
Native de Detroit dans le Michigan (États-Unis), elle émigre avec ses parents, dès l'âge d'un an, au Surinam, puis vivra à la Barbade et à la Jamaïque. Elle chante ses premières notes bleues dans les clubs américains. Set me free, en 2000, inaugure les productions d'albums : Time, en 2003, qui lui permettra d'affronter la scène du festival breton des Vieilles Charrues, puis Yesterday Comes (2006) et un Live at FIP (2007). Autant de traces sur sillons offrant diversité de forme et de fond. Ilene Barnes n'hésite pas à teinter son folk de hip-hop, rock et soul, ni à aborder des thèmes aussi variés que les racines, la peur de vieillir et l'exploitation de l'homme par l'homme.
Depuis 2003, la globe-trotteuse a assuré plus de quatre cents concerts à travers toute l'Europe. Encore une question de maîtrise du rythme‚

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